Plus tendre qu'un aveuMêle savamment l'innocence et le charTa jupe de quinze ansEt tes jambes de phareTes bras encore si frères deviennent rassurantsQuand tu dors à l'enfantTa douceur maternelle***-moi qui t'a apprisA effleurer ma boucheToi qui suces ton pouceQuand tu es endormiPlus belle qu'une ondineQuand tu sors du bainTu caches ta poitrineDans la paume des mainsLes hanches insolentes à chaque mouvementUne bouche gourmandeEt des yeux innocentsLe soleil apprivoise ton corpsA contre-jourEt troublent les contoursDe ton ombre chinoise***-moi qui t'a apprisA effleurer ma boucheToi qui suces ton pouceA effleurer ma boucheQuand tu es endormiComme une adolescenteA son premier désirExperte et maladroiteOfferte à ton plaisirTu es en même tempsPrincesse courtisaneUne fille, une fille, une fille, une fille, une fille, une fille...Une femme et la mère et l'enfantJe te regarde viteTu me redonnes vieTes gestes me délirentDe tout ce que je suisJe te regarde viteSous-titrage ST' 501