Lời đăng bởi: 86_15635588878_1671185229650
Toi qui regardes la merA mourirMais quand tu fermes les yeuxUn refrain qui te parle en argotFais balancer tes jours heureuxAvec l'odeur du métroChacun s'immaneOhPasse en façonChaque soiréeNumeauToi qui regardes la merTu ne vois même plus l'horizonTu regarderas un temps arrièreEt c'est noyéEt c'est noyéParis existe toujoursEt quand bien le printemps peut voirLes foyaux planèrent autourDes marronniers, des boulevardsLes yeux fixés sur un juponIls te souviennent, papillonToi qui regardes le cielTu n'es plus qu'un pauvre homme écraséÉcrasé par le poids du soleilPar le poids du pinceauMais quand le soir tu t'endorsEn pensée tu retournes là-basTe voilà dans ton écartTon petit hôtel, ton tabacLa liberté avait du bonTu t'endors là-basTu te souviens, papillon