Depuis que je travaille à la ville, dans une usine de faux caviar,Je suis russe, des pieds à la tête,Je rentre le soir, beaucoup trop tard.Jean-Baccard de Gétiquette de l'Est,Jean me paraît chic, quand je rentre dans ma chambre,Fait de la bougie, ça m'enivre,Quand je livre mes boîtes à l'hôtel Savoy,Mes pâtes louches pour ma bouche, Jean d'Air à l'eau,Jean-Baccard de Gétiquette de l'Est,Jean me paraît chic, quand je rentre dans ma chambre,Fait de la bougie, ça m'enivre,Quand je livre mes boîtes à l'hôtel Savoy,Mes pâtes louches pour ma bouche, Jean d'Air à l'eau,Et bien que je m'appelle Josiane,Et que mon mari s'appelle Bernard,Nos amours sont devenus tiganes,Moi je ne trouve pas ça mauvais.Et bien que je m'appelle Josiane,Et que mon mari s'appelle Bernard,Nos amours sont devenus tiganes,Moi je ne trouve pas ça mauvais.Et bien que je m'appelle Josiane,Et que mon mari s'appelle Bernard,Nos amours sont devenus tiganes,Moi je ne trouve pas ça mauvais.Et bien que je m'appelle Josiane,Comme ils préféraient la sardine,J'ai cherché un bon avocat.Je suis libre et je vibre,Quand les hommes sont à mes genoux,Je me débride mais ça me ride,Ça me fait âme.Moche tout, mais qu'importe,Que je sors de même avec toute la marie,Que je m'use, je m'amuse, je bois un pot.Tel qu'il, je suis libre et je vibre,Quand les hommes sont à mes genoux,Je me débride mais ça me ride,Ça me fait âme.Je me débride mais ça me ride,Ça me fait âme.Moche tout, mais qu'importe,Que je sors de même avec toute la marie,Que je m'use, je m'amuse, je bois un pot.Tel qu'il, je suis libre et je vibre,Quand les hommes sont à mes genoux,Je me débride mais ça me ride,Ça me fait âme.Moche tout, mais qu'importe,Que je sors de même avec toute la marie,Que je m'use, je m'amuse, je bois un pot.Tel qu'il,Te, te, ride.