De quelques exploits amoureuxJ'étais allé m'attendre autour, tout autour de la tour Saint-JacquesVoilà comment c'était venu de fenêtre à fenêtreEn lui parlant, j'avais connu un immense bien-êtreCet enfant était de Paris, dont les filles sont fièresEt non pas toujours les maris, qu'avaient rêvé leur pèreEt pour connaître mon amour, mes habits de PâquesOu pour me payer de retour, nous devions nous trouver autourTout autour de la tour Saint-JacquesVers ce temps, la tour n'avait pas robe de blanche pierreNi la traîne et les falbalas qui lui font son parterreA ses pieds poudreux et meurtris des huttes et des hallesEt dans son grand corps noir ou gris, on y fondait des ballesMais je l'aimaisJ'aimais l'amour et mes habits de PâquesJ'adorais ce triste séjour, puisqu'elle m'attendait autour Saint-JacquesJ'en fis à peine le chemin, ma beauté vint de suiteLorsque je n'en parle d'hymen, comme le cœur bat viteIl faisait un temps radieux, le ciel était sans voileMais pour moi qui voyais ses yeux, je me ***ais que c'était la fin de la vieQu'importaient les étoiles, tout mon corps frissonnait d'amour dans mes habits de PâquesDe la voir ainsi sans détour, avec moi cheminée autourTout autour de la tour Saint-JacquesVous avez sans doute un métier *** ma jeune conquêteOui ***-je, je suis ouvrier, ma famille est honnêteJe vous prenais pour un commisAlors ma belle, pourquoi n'êtes-vous pas mieux mise ?Adieu monsieur, ***-elleSoyez non fière de votre amour de vos habits de PâquesPour que la fin d'un si beau jour vous trouve la pleure en haut d'oùTout autour de la tour Saint-Jacques