Claude Nougarohumberto Canto. Avec Maurice Vander et son orchestre. Le corbeau croasse. Et l'herbe crot. Le crapaud coasse. Et moi je crois. J'ai pas d'aptre. J'ai pas de croix. Je crois en
, c'est du vent que l'on boit et puis que l'on oublie. Sable fin et mouvant et mes pas se perdent dans la nuit. . Merveilleux soleil qui nous redonne chaque jour. L'illusion de croire qu'on durera
On *** qu'il y fait toujours beau. C'est lа que migrent les oiseaux. On *** зa. De l'autre bout du monde. . J'avance seule dans le brouillard. C'est dйcidй зa y est, je pars. Je m'en vais. А
chaque jour au coin de nos vies. La grande aventure il faut la cueillir entre notre йglise et notre mairie. Entre la barriиre du grand-pиre Machin et le bois joli de monsieur l'Baron. Et entre la vigne
vivre, de la revivre infiniment. De vivre а remonter le temps, de dйchirer la fin du livre. L'enfance qui se dйpose sur nos rides. Pour faire de nous de vieux enfants. Nous revoilа jeunes amants, le
Aux sombres hros de l'amer. Qui ont s traverser les ocans du vide. A la mmoire de nos frres. Dont les sanglots si longs faisaient couler l'acide Always lost in the sea. Always lost in the sea
Aux sombres hros de l'amer. Qui ont s traverser les ocans du vide. A la mmoire de nos frres. Dont les sanglots si longs faisaient couler l'acide Always lost in the sea. Always lost in the sea
De bec de gaz en bec de gaz. On s'est aimй comme des chiens. Sans mкme l'ombre d'une phrase. Sans mкme l'ombre d'un chagrin. C'est-y-pas vrai?. . On n'йtait pas du genre qui cause. J'aimais
,. Ivre de vie, d'amour et de vent. Belle la chanson naissante des vages,. Abandonnйe au sable blanc. . Blanc l'innocent, le sang du poиte,. Qui en chantant invente l'amour. Pour que la vie s'habille
Je m'appelle Octave. Et je fais le zouave. Sur le pont de l'Alma. Oщ quelquefois. Comme autrefois. J'en bave. Mais plus qu'en Afrique. Aux temps hйroпques. Quand sous la chйchia. Garance